Lundi 11 juillet à 16h, l'Assemblée nationale débat et vote sur la motion de censure et sur le projet de loi sanitaire à partir de 17h..
À mesure que les Français vont légitimement s’énerver de l’explosion des prix, des pénuries énergétiques, de la destruction de la santé, de l’entretien volontaire de la guerre, le gouvernement jouera de plus en plus sur la peur pour tenter de mater la révolte, par la soumission, le contrôle et la division...
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Le sénat rétablit le contrôle sanitaire des voyageurs !
Les oppositions n’ont pas le droit d’être dilettantes !
Ainsi, nous voyons refleurir depuis quelques jours l’hystérie autour du covid : C.Estrosi impose le masque obligatoire à Nice, et la loi Covid qui arrive le 11 juillet à l’Assemblée nationale donne pouvoir au Premier ministre d’imposer à nouveau un Pass sanitaire aux frontières mais aussi entre Corse et continent et entre métropole et outre-mer : inadmissible !
Le nouveau ministre de la Santé, François Braun, ne veut pas réintégrer le personnel suspendu, tandis que les grands labos multiplient les actions de lobbying, aux États-Unis, en France, pour la vaccination massive des enfants.
Dans ce contexte, les oppositions à l’Assemblée nationale ont le pouvoir de tout arrêter ! Si elles veulent, elles peuvent !
Il n’y a aucun cadeau à faire à l’oligarchie et aux macronistes, aucun ! Comme ils ne font aucun cadeau à la France, la livrant au pire et aux puissances d’argent.
Ainsi, les oppositions qui refusent de s’opposer, soi-disant pour apparaître « constructives », se retrouvent en réalité complices de Macron ! L’heure de vérité sera le vote de la motion de censure !
Quelques minutes avant le discours de politique générale d’Elisabeth Borne devant l’Assemblée nationale, la Nupes a déposé une motion de censure contre le gouvernement, qui doit être votée par les députés en début de semaine. Or, l’alliance de gauche sait déjà qu’elle ne sera pas votée, alors à quoi sert cette motion de censure ?
Commentaires
Les oppositions n’ont pas le droit d’être dilettantes ! Elles doivent être au travail, au service des Français. Au service du Bien commun.
Nous leur disons aussi : sortez du cadre dans lequel on vous enferme ! Cadre mental, cadre idéologique. Le pouvoir d’achat ne peut se résumer à un catalogue de mesurettes, de chèques précaires et incertains.
Le vrai pouvoir d’achat, ce sont les salaires et les retraites, c’est recréer une industrie française, de l’emploi pérenne, c’est faire du patriotisme économique, c’est avoir une monnaie nationale adaptée à notre pays, c’est refuser le libre-échange et choisir le protectionnisme ciblé. C’est remettre l’économie réelle, la créativité au-dessus de la Finance et la spéculation ! Ça, c’est sortir du cadre. C’est refuser intellectuellement le piège du mondialisme et de l’européisme.
Même chose concernant les libertés ! Il ne faut pas se battre pour amender une énième loi Covid, mais pour être en rupture totale avec cette logique liberticide déshumanisante de contrôle des populations. En refusant la vaccination obligatoire, en réintégrant immédiatement tous les personnels suspendus, en protégeant les enfants, en redonnant de vrais moyens à l’hôpital et aux médecins qui soignent, en garantissant le principe de prévention, de traitement, de liberté de soigner sans se laisser impressionner par les grandes peurs agitées, sur le Covid, la variole du singe ou autre « 8è vague » qu’on nous annonce déjà pour la rentrée !
En se battant aussi concrètement pour lever le secret défense qui pèse sur la gestion du Covid depuis deux ans et faire la chasse aux conflits d’intérêts et à la corruption !
Macron dit à l’Afrique qu’il va « l’aider à lutter contre la corruption » ? C’est une plaisanterie ! Qu’il commence donc par s’appliquer ses leçons à lui-même et à son entourage…
https://les-patriotes.fr/projet-pour-la-france/
C’est une mauvaise nouvelle, à nuancer toutefois.
Vous savez d’abord que, pour être adopté définitivement, un projet de loi doit être voté et par l’Assemblée nationale, et par le Sénat.
C’est cependant l’Assemblée nationale qui a le dernier mot – et c’est ce qui avait permis au projet de loi sur le pass vaccinal d’être adopté en janvier dernier.
Nous verrons si cette nouvelle mouture est à son tour rejetée par les députés de l’opposition – mais que contient-elle ?
Rétablissement des contrôles sanitaires aux frontières… mais sous condition
Le gouvernement pourra donc, selon ce projet de loi, exiger un « certificat de voyage » (c’est le nouveau nom du pass sanitaire aux frontières) à destination ou depuis l’étranger, de la Corse et des DOM-TOM.
Soit : un schéma vaccinal complet, un test négatif ou bien un certificat de rétablissement.
Mais… pas systématiquement. C’est là que le texte est flou : il prévoit en effet que ce certificat sera exigé en cas d’apparition d’un nouveau variant « susceptible de constituer une menace sanitaire grave ».
Cette définition est on ne peut plus vague !!! Qui décrétera du degré de dangerosité réelle ou supposée d’un variant ? L’État évidemment !
C’est donc doublement un jeu de dupe : d’abord parce que l’on sait que ce type de mesure n’a jamais empêché les variants de passer les frontières ; ensuite parce que sous ses dehors « raisonnables », cette version de la loi consiste à laisser une fois de plus les clés et le volant de cette mesure coercitive au bon vouloir des politiciens.
Contrôle à partir de 12 ans
Plus honteusement encore, la limite d’âge à partir duquel ce « certificat » pourra être exigé a été ramenée à 12 ans, alors que les députés de l’opposition avaient bataillé pour la faire passer à la majorité, soit 18 ans.
Je pense que nos enfants sont, d’une part, fatigués, pour ne pas dire traumatisés, des tests à répétition qu’on leur a fait subir sans aucune retenue au cours des derniers mois.
Mais, surtout, cette disposition encourage et aggrave la démarche d’injection de nos plus jeunes, dont nous savons qu’ils ne tirent aucun bénéfice en termes de protection, mais sont en revanche particulièrement exposés aux effets secondaires.
Cette disposition méprise donc les alertes émises par plusieurs pédiatres et épidémiologistes depuis quelques mois.
Porte entr’ouverte à la réintégration des soignants non-vaccinés
Je vous avais parlé, dans ma dernière vidéo, du chantage auquel entendait se livrer François Braun, à savoir promettre la réintégration des soignants non-vaccinés contre l’adoption du pass sanitaire aux frontières.
Le ministre de la santé a réussi son pari… et c’est lui le seul gagnant.
Certains sénateurs demandaient une réintégration immédiate et sans condition.
Mais non : ce qui a été voté, c’est que cette réintégration sera soumise à la décision de la Haute Autorité de Santé.
« Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras », dit-on : c’est ce à quoi nous avons affaire ici.
Laisser cette décision entre les mains de la HAS (qui est sans doute l’autorité la plus vaccinolâtre de l’État) est une bonne opération politique pour F. Braun : il a, en façade, fait un pas vers le compromis, tout en se lavant les mains de cette réintégration ou non, laissée au choix de la HAS.
C’est ce qu’on appelle avoir le beurre (le pass sanitaire aux frontières) et l’argent du beurre (la non-réintégration des soignants non-vaccinés).
Pour conclure.
C’est donc un texte de faux-semblants qui, à mes yeux, a été adopté par le sénat, plein de garanties floues et de promesses faciles à ne pas tenir.
J’avais dit que nous avions remporté la première manche à l’Assemblée nationale ; je peux dire maintenant que nous avons perdu la deuxième.
La troisième aura lieu à l’Assemblée, et nous permettra de mesurer si les députés sont dupes, ou pas, de ces garanties et promesses qui n’engagent que ceux qui y croient.
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet
https://alternatif-bien-etre.com/author/rbacquet/